"Vous auriez pas un truc/astuce pour que je me bouge et que je me mette à bosser ?"
Beaucoup de gens semblent avoir ce problème. La réponse la plus souvent proposée est de ne "pas voir le tulpaforcing comme un travail, voire une corvée". Tu n'es pas obligé de forcer ton tulpa à rester immobile devant toi pendant une demi-heure pour que tu le visualises : contente-toi d'imaginer une plage et marchez ensemble, en vous regardant occasionnellement. Inutile de rester immobile dans un parc à vous écouter répéter "the rain in spain stays mainly in the plain" pour travailler sa voix : rentrez dans un opéra (dans le wonderland), montez sur scène et changez un peu l'ambiance. Au lieu de voir ça comme des exercices rigoureux et, avouons-le, chiants comme la pluie en été, essayez d'en faire des activités qui VOUS amusent, parce que c'est VOUS qui cherchez à être satisfaits. Et dans le cas où l'activité en question ne vous ferait pas progresser dès le premier jour, vous pourrez au moins être content de vous être éclatés, et reprendre un autre jour.
De notre côté, nos deux dernières séances de forcing actif étaient des combats de boss : on a fait un fichier avec quelques images de créatures plus ou moins bizarres et grandes (de 10 mètres à, heu, on dirait bien 10 kilomètres), on prend un nombre au hasard, on choisit la n-ième image, et on se fait une séance où on essaie de combattre la bestiole en question. C'est quelque peu violent, mais tout autant fun, et c'est un très bon moyen de s'entraîner à la visualisation ou à la narration, vu qu'on doit généralement communiquer entre nous pour essayer de mettre des tactiques au point.
[L/N: Mais se contenter de marcher le long d'une plage, c'est bien aussi.]
Have fun !